Titre : |
Contes et violence : enfants et adultes face aux valeurs sous-jacentes du conte |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Renaud Hétier, Auteur |
Editeur : |
Paris : Presses universitaires de France |
Année de publication : |
1999 |
Collection : |
Éducation et formation |
Sous-collection : |
L'éducateur |
Importance : |
VIII-223 p. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-13-050057-5 |
Prix : |
168 F |
Note générale : |
Bibliogr. p. 199-200 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
"violence" "peur" "conte" "valeur" "éducation" |
Index. décimale : |
371 Pédagogie. Enseignement. Éducation. |
Résumé : |
La violence phénomène de société et sujet de préoccupation, très médiatisé, doit-elle toujours faire peur? Quand il s'agit des enfants et de leur éducation, la tentation est grande de protéger leur regard de toute violence... au risque de ne pas les préparer à y faire face. Mais sait-on vraiment ce qu'en pensent les enfants eux-mêmes, ont-ils si peur de la violence qu'ils ne puissent voir qu'elle est parfois nécessaire? L'hypothèse de travail va en sens inverse : parions que ce sont les éducateurs, plus que les élèves, qui ont peur. |
Note de contenu : |
Références de contes : Frérot et Sœurette; le conte du genévrier; Jean-le-Fidèle... |
Contes et violence : enfants et adultes face aux valeurs sous-jacentes du conte [texte imprimé] / Renaud Hétier, Auteur . - Paris : Presses universitaires de France, 1999 . - VIII-223 p. ; 22 cm. - ( Éducation et formation. L'éducateur) . ISBN : 978-2-13-050057-5 : 168 F Bibliogr. p. 199-200 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
"violence" "peur" "conte" "valeur" "éducation" |
Index. décimale : |
371 Pédagogie. Enseignement. Éducation. |
Résumé : |
La violence phénomène de société et sujet de préoccupation, très médiatisé, doit-elle toujours faire peur? Quand il s'agit des enfants et de leur éducation, la tentation est grande de protéger leur regard de toute violence... au risque de ne pas les préparer à y faire face. Mais sait-on vraiment ce qu'en pensent les enfants eux-mêmes, ont-ils si peur de la violence qu'ils ne puissent voir qu'elle est parfois nécessaire? L'hypothèse de travail va en sens inverse : parions que ce sont les éducateurs, plus que les élèves, qui ont peur. |
Note de contenu : |
Références de contes : Frérot et Sœurette; le conte du genévrier; Jean-le-Fidèle... |
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